vous êtes ici : accueil > Infos DGFIP > Actions nationales > Archives des actions précédentes
Le 10 octobre 2017, à l’appel de toutes les organisations syndicales, des centaines
de milliers d’agent·e·s de la Fonction publique faisaient grève et manifestaient pour des augmentations salariales et le dégel du point d’indice, des créations d’emplois dans les nombreux services frappés par le sous-effectif et le non-rétablissement du jour de carence.
Dans les jours et les semaines qui ont suivi, les seules réponses du président de la République, du Premier ministre et du ministre en charge de la Fonction publique ont été le maintien de toutes leurs décisions porteuses de lourdes régressions et la poursuite, à la hussarde, de « CAP 2022 », entreprise de démantèlement des services publics.
UN PEU PARTOUT, DES LUTTES LÉGITIMES
Mais, ces politiques destructrices, tant pour les agents que pour les missions publiques, passent mal.
Dans de nombreux secteurs, des mouvements font irruption, se développent, s’inscrivent dans la durée.
C’est notamment le cas dans l’Éducation nationale, dans les EHPAD, chez les personnels surveillant·e·s de prison, dans la filière sociale, chez les conseiller·ère·s d’insertion et probation, à l’Office national des forêts, dans de nombreux hôpitaux et collectivités territoriales, …
Partout, les mêmes exigences légitimes sont mises en avant : la véritable reconnaissance des missions publiques essentielles, une meilleure prise en compte des qualifications, des revalorisations salariales, les effectifs et les moyens pour un service public de qualité, l’amélioration des conditions de travail.
Ces luttes, par ce qu’elles expriment, s’opposent frontalement aux politiques libérales et austéritaires actuellement mises en œuvre.
LES ANNONCES DU 1er FÉVRIER : UNE PROFONDE ET DANGEREUSE AGGRAVATION
La suite dans le tract ci-dessous
Article publié le 19 février 2018.